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La liberté en Christ

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« Je prends aujourd'hui à témoin les cieux et la terre contre vous, que j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction ; choisis donc la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité ; En aimant l'Eternel ton Dieu, en obéissant à sa voix, et en t'attachant à lui ; car c'est lui qui est ta vie, et la longueur de tes jours… » Deutéronome 30 :19-20.

Dans le dictionnaire, le mot liberté se rapporte à : l’état de quelqu'un qui n'est pas soumis à un maître ; quelqu'un qui n'est pas lié par un engagement d'ordre contractuel, conjugal ou sentimental ; ou encore quise détermine en dehors de toute pression extérieure ou de tout préjugé. La définition de la liberté de ce monde est diamétralement opposée avec la liberté selon Dieu.

Le Seigneur a créé l’Homme avec un libre arbitre qui lui permet d’agir selon sa propre volonté. Dans le livre de Deutéronome 30 au verset 19, nous voyons Dieu faire appel à cette capacité pour choisir la vie et non la mort, Dieu et non Satan.

Il est très courant dans la vie quotidienne d’entendre : « je suis libre de faire ce que je veux ! » Mais est-ce la vérité ? Non, loin de là !

Comment peut-on être libre quand notre conduite et nos désirs sont dictés par la chair, et également par la société qui nous dicte les manières d’agir, de penser et de juger ?

Même si l’Homme pense agir par lui-même, en réalité il est soumis à la loi du péché qui réside dans sa chair. L’Homme a donc besoin d’un libérateur et Jésus-Christ est ce libérateur !

 

NOUS ÉTIONS ESCLAVES DU PÉCHÉ

Depuis le péché d’Adam et Eve, la nature humaine a été corrompue, le mal et la mort ont pris place dans le corps de l’Homme et se transmettent de génération en génération.

Par conséquent, les décisions et la volonté propre de l’Homme le conduisent inévitablement à pécher.

L’histoire de Caïn et Abel illustre bien cette réalité. Le péché présent dans le cœur de Caïn, l’a poussé à tuer son frère Abel parce qu’il avait des œuvres justes (Genèse 4 : 8 ; 1 Jean 3 : 12).

Dans Genèse 6 : 5 il est dit : « l'Eternel voyant que la malice des hommes était très grande sur la terre, et que toute l'imagination des pensées de leur cœur n'était que mal en tout temps ».

En voyant toute la méchanceté qui règne sur terre, l’Homme a conscience que le mal existe.

Cependant, le mal ne se limite pas uniquement aux actes criminels, il concerne aussi le péché sous toutes ses formes, la rébellion contre la loi de Dieu (Psaumes 51 : 6).

« […] mais je suis charnel, vendu au péché. Car je n'approuve point ce que je fais, puisque je ne fais point ce que je veux, mais je fais ce que je hais. Or si ce que je fais je ne le veux point, je reconnais par cela même que la loi est bonne. Maintenant donc ce n'est plus moi qui fais cela ; mais c'est le péché qui habite en moi. Car je sais qu'en moi, c'est-à-dire, en ma chair, il n'habite point de bien ; vu que le vouloir est bien attaché à moi, mais je ne trouve pas le moyen d'accomplir le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, mais je fais le mal que je ne veux point. Or si je fais ce que je ne veux point, ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc cette loi au-dedans de moi, que quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi » Romains 5 : 14-21.

Beaucoup de ceux qui n’ont pas encore reçu Jésus dans leur cœur pensent être de « bonnes personnes », car ils ont une bonne moralité : ils ne volent pas, ils ne tuent pas… Leur famille et leur entourage peuvent témoigner qu’ils sont gentils et aimables. Toutefois, la loi du péché demeure en eux et les maintient dans la rébellion contre leur Créateur. Dans Romains 3 : 10, il est clairement dit qu’il n’y a point de juste, pas même un seul, il n’en est aucun qui fasse le bien !

Le péché a été renfermé dans la chair c’est pour cela qu’en y étant soumis, il est impossible d’être libre pour obéir pleinement à la parole de Dieu.

autel cherubinAu temps de Moïse, la loi a été donnée aux Hébreux afin qu’ils aient conscience de ce qu’est le péché et qu’ils réalisent leur état de pécheur :« Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? À Dieu ne plaise ! Au contraire je n'ai point connu le péché, sinon par la loi : car je n'eusse pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit : tu ne convoiteras point. Mais le péché ayant pris occasion par le commandement, a produit en moi toute sorte de convoitise ; parce que sans la loi le péché est mort. Pour moi, autrefois sans loi, je vivais ; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie, Et moi, je suis mort ; et il s'est trouvé que le commandement, qui devait me donner la vie, m'a donné la mort. Car le péché, prenant occasion du commandement m'a séduit, et par lui m'a fait mourir » Romains 7 : 7-11.

Les différents types de lois morales, cérémonielles et sociales (Exode 21 à 23) avaient pour but d’instruire sur la nature sainte de Dieu et de révéler le péché afin que nous puissions nous rendre compte que nous avions besoin d’un sauveur.

 

La loi morale regroupait les dix commandements. Ils conduisaient les Hébreux à marcher dans la justice de Dieu. Ainsi ils manifestaient l’amour envers Dieu et leur prochain.

La loi cérémonielle régissait le culte que le peuple devait rendre à Dieu. On retrouve les rituels tels que : les différents types de sacrifices (Lévitiques 1 à 7), les purifications, les vœux, les dîmes, les lois alimentaires. Les sacrificateurs et les Lévites étaient consacrés pour le service au tabernacle puis dans le temple. La loi stipulait les moments consacrés au Seigneur tels que : le sabbat, l’année sabbatique, année du jubilé, les différentes fêtes de l’Eternel.

La loi sociale administrait les différentes relations entre les hommes avec leurs prochains, qu’ils soient esclaves, membres de la famille, ennemis, étrangers, veuves, orphelins…

Le service au tabernacle, les divers types d’offrandes et de sacrifices étaient une préfiguration de la nouvelle alliance que Jésus allait inaugurer. Les œuvres de la loi étaient un pédagogue (Galates 3 : 25), une solution provisoire pour couvrir le péché du peuple, en attendant la révélation de Jésus, l’Agneau de Dieu.

« […] tandis que le premier Tabernacle était encore debout, lequel était une figure destinée pour le temps d'alors ; Durant lequel étaient offerts des dons et des sacrifices ; qui ne pouvaient point sanctifier la conscience de celui qui faisait le service. Ordonnés seulement en viandes, en breuvages, en diverses ablutions, et en des cérémonies charnelles, jusqu'au temps que cela serait redressé »Hébreux 9 : 8-10.

Nous étions prisonniers et esclaves du péché, car nous n’avions pas le moyen d’échapper à son joug qui nous dirigeait à son aise. La loi ne pouvait pas nous libérer de l’emprise du péché, car la puissance de la chair la rendait sans force (Romains 8 : 3). Mais dans son amour le Père a pourvu à une solution, avant même la chute d’Adam et Eve.

 

LIBÉRÉS PAR LE SACRIFICE DE LA CROIX

« Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur »Romains 6 : 23.

Pour nous libérer de la prison de Satan, une rançon devait être payée. Par le sacrifice de la croix, Jésus a payé cette rançon en subissant la conséquence du péché de l’humanité, c’est-à-dire la mort. Jésus a donné sa vie pour nous libérer.

« Sachant que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, non par des choses périssables, comme l'argent et l'or, mais par un précieux sang, comme d'un Agneau sans défaut et sans tache, Christ, destiné déjà avant la création du monde, et manifesté dans les derniers temps à cause de vous … » 1 Pierre 1 : 18-20.

N’oublions pas qu’un prix inestimable a été payé à la croix afin de nous affranchir. Jésus a été angoissé et sa sueur devint comme des grumeaux de sang (Luc 22 : 44), il a souffert physiquement dans sa chair en étant cloué au bois, et cela pour nous affranchir du péché qui nous traine en enfer.

pmcc4thwatch-51b53c9e-pi9wubdseekp929x5kgnDésormais, ceux qui reçoivent Jésus dans leur cœur sont libérés de l’esclavage du péché. Nous sommes morts au péché et nous vivons avec Christ une vie nouvelle (Romains 6 : 11). Si nous l’aimons nous aurons à cœur de ne pas mépriser son sacrifice pour nos vies et nous saisirons totalement la grâce qui en découle.

« Ne croyez pas que je sois venu anéantir la loi, ou les prophètes ; je ne suis pas venu les anéantir, mais les accomplir »Matthieu 5 : 17.

Par l’œuvre de la croix, Jésus a accompli la loi cérémonielle et Il y a mis fin. La loi ne pouvait pas amener l’Homme à la perfection car elle ne pouvait le délivrer de l’esclavage du péché. Elle représentait l’ombre de ce que Jésus allait accomplir à la croix (Hébreux 10 : 1). Une ombre est une forme indécise que l’on voit à peine dans une demi-obscurité.

 

Or, Jésus a levé le voile sur cette ombre, et s’est révélé comme étant le Souverain Sacrificateur qui a offert son propre sang en sacrifice afin de nous sanctifier parfaitement une bonne fois pour toutes (Hébreux 7 : 26-28). Nous n’avons donc plus à faire des sacrifices d’animaux ni à payer la dîme et les divers types d’offrandes (végétales, par agitation, par élévation…) pour obtenir le pardon de nos péchés.

En donnant nos vies à Jésus, nous devenons le temple du Saint-Esprit (1 Corinthiens 6 : 19).

Le sacrifice que nous offrons à Dieu et qu’il agrée, est notre vie sanctifiée. « Je vous exhorte donc, mes frères, par les compassions de Dieu, que vous offriez vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui est votre raisonnable service »Romain 12 : 1.

Ce ne sont plus seulement les Lévites, descendants d’Aaron (Exode 28 : 1) qui sont consacrés au service de Dieu. Tous les véritables enfants de Dieu le servent dans l’adoration, la prière, l’évangélisation et en obéissant à toute sa parole. Ce que nous sommes et ce que nous possédons appartiennent entièrement à Dieu. C’est pourquoi désormais, nous n’avons plus à lui donner dix pour cent de notre revenu, ni lui consacrer un jour dans la semaine pour être dans son repos et pour l’adorer.

Nous n’avons donc plus à nous rendre dans un bâtiment appelé église pour adorer Dieu, mais nous l’adorons en esprit et en vérité, et cela tous les jours de nos vies. Etant sacrificateurs (Apocalypse 1 : 6) du temple que nous sommes, nous avons un accès direct auprès du Père (Ephésiens 2 : 18). Le seul intermédiaire entre nous et le Père est Jésus (1 Timothée 2 : 5) et non un pasteur.

Le sabbat du Seigneur consiste dans le fait que nous ne pratiquons plus les œuvres de la loi, mais les œuvres justes que le Seigneur a préparées d’avance pour nous par sa grâce.

« Sachant que l'homme n'est pas justifié par les œuvres de la loi, mais seulement par la foi en Jésus-Christ, nous, dis-je, nous avons cru en Jésus-Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi de Christ, et non point par les œuvres de la loi ; parce que personne ne sera justifié par les œuvres de la loi » Galates 2 : 16.

« Car tous ceux qui s'attachent aux œuvres de la loi sont sous la malédiction ; car il est écrit : Maudit est quiconque n'observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique. Et que nul ne soit justifié devant Dieu par la loi, cela est évident, puisqu'il est dit : Le juste vivra par la foi. Or, la loi ne procède pas de la foi ; mais elle dit : Celui qui mettra ces choses en pratique vivra par elles. Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit : Maudit est quiconque est pendu au bois » Galates 3 : 10-13.

Parce qu’il était impossible de respecter les 613 lois sans faillir, nous étions tous condamnés d’office. C’est pour cela qu’il est impossible d’être sauvé en pratiquant la loi. Jésus, en tant que substitut, a totalement accompli la loi pour nous et nous a ainsi parfaitement sauvés.

Par son sacrifice nous avons été rendus justes devant Dieu. « Qui accusera les élus de Dieu ? Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! » Romains 8 : 33-34.

L’ennemi de nos âmes ne peut plus nous accuser pour notre vie passée, car Jésus notre avocat a plaidé notre cause.

Libéré des œuvres de la loi cérémonielle, chaque Homme garde dans sa conscience la loi morale que le Seigneur a donné (Romains 2 : 14-15). La loi sociale est réservée aux Israélites.

Ce que Dieu attend de son peuple c’est qu’il l’aime en se soumettant à sa parole.

Toute la loi se résume en ce commandement : « Car toute la Loi est accomplie dans cette seule parole : tu aimeras ton Prochain comme toi-même » Galates 5 :14.

« Et quelqu'un des Scribes qui les avait ouïs disputer, voyant qu'il leur avait bien répondu, s'approcha de lui, et lui demanda : quel est le premier de tous les commandements? Et Jésus lui répondit : le premier de tous les commandements est : écoute Israël, le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur ; Et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. C'est là le premier commandement. Et le second, qui est semblable au premier, est celui-ci: tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a point d'autre commandement plus grand que ceux-ci. Et le scribe lui dit : Maître, tu as bien dit selon la vérité, qu'il y a un seul Dieu, et qu'il n'y en a point d'autre que lui ; Et que de l'aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute son âme, et de toute sa force ; et d'aimer son prochain comme soi-même, c'est plus que tous les holocaustes et les sacrifices. Et Jésus voyant que ce scribe avait répondu prudemment, lui dit : tu n'es pas loin du Royaume de Dieu » Marc 12 : 28-34.

Notre conscience étant lavée des œuvres mortes (Hébreux 9 :13-14) par sa grâce et par la foi nous sommes donc capables de servir Dieu dans la vérité, d’être libres de l’aimer et de lui appartenir.

 

LIBÉRÉS POUR APPARTENIR À JÉSUS

En Jésus nous sommes devenus libres, mais il nous faut bien comprendre cette liberté. Elle ne consiste pas à obéir et à marcher avec le Seigneur selon notre gré car Il est un Dieu d’ordre avec des principes. Le Seigneur nous a donné sa parole et son Esprit pour nous enseigner comment nous conduire : « Car, mes frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement ne prenez pas une telle liberté pour une occasion de vivre selon la chair » Galates 5 : 13.

Nous avons été libérés par rapport au péché pour devenir des esclaves de Christ (1 Corinthiens 7 : 22). Cela peut paraître paradoxal d’être à la fois libre et esclave mais il en est ainsi en Jésus. Nous ne sommes plus soumis à la loi du péché, ni à la loi donnée par Moise. Ne nous bornons donc pas à rester sous des jougs dont nous sommes libres.

Notre seule volonté doit être d’obéir à Dieu en toutes choses, car nous lui appartenons, il est notre Maître.

«Or ceux qui sont de Christ, ont crucifié la chair avec ses affections et ses convoitises » Galates 5 : 24. La liberté en Christ nous donne cette capacité de pouvoir renoncer aux désirs de notre chair par amour pour lui. De même que Jésus a donné sa vie pour nous, nous lui donnons la nôtre en mourant à notre propre volonté.

« Et ne vous conformez point à ce présent siècle, mais soyez transformés par le renouvellement de votre entendement, afin que vous éprouviez quelle est la volonté de Dieu, bonne, agréable, et parfaite »Romains 12 : 2.

En Christ, nous sommes libres de pouvoir marcher à contre-courant de la mentalité de ce monde, car notre esprit a été régénéré pour avoir la mentalité du Royaume de cieux.

Du choix que l’on fera entre la soumission à Jésus ou à notre chair, dépendra notre éternité. Le Seigneur nous conseille de choisir la vie. Sachons saisir sa grâce !

 

M.S.

La version de la Bible utilisée est la Martin.

 

 

 

5 commentaires
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5 commentaires

  • Dada   
    7 Août 2014 04:08

    Sa édifie vraiment soyez bénis (Y)

    Répondre
  • corinne Mascha   
    7 Août 2014 06:48

    Excellente exhortation, que je garde dans mes dossiers, elle servira, nul doute, à être partagée autour de moi.
    c.m.

    Répondre
  • Diya   
    7 Août 2014 17:58

    Merci pour cet enseignement.
    Par contre je ne comprend pas très bien ce passage:
    « Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? À Dieu ne plaise ! Au contraire je n’ai point connu le péché, sinon par la loi : car je n’eusse pas connu la convoitise, si la loi n’eût dit : tu ne convoiteras point. Mais le péché ayant pris occasion par le commandement, a produit en moi toute sorte de convoitise ; parce que sans la loi le péché est mort. Pour moi, autrefois sans loi, je vivais ; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie, Et moi, je suis mort ; et il s’est trouvé que le commandement, qui devait me donner la vie, m’a donné la mort. Car le péché, prenant occasion du commandement m’a séduit, et par lui m’a fait mourir » Romains 7 : 7-11.

    Cela veut-il dire que si la loi n'avait pas précisé que, par exemple, le mensonge est un péché, l'homme n'aurait pas eut le désir de mentir? Et que donc de par sa nature pécheresse, l'homme est naturellement attiré par le mal, juste parce que Dieu condamne le mal?

    J'espère que je me suis fait comprendre.
    Merci

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    • Myrlène   
      8 Août 2014 14:04

      Bonjour Diya
      Depuis la chute d'Adam et Eve, même avant que la loi soit promulguée, les pensées du cœur de l'Homme se portaient chaque jour vers le mal (Genèse 6:5).
      La loi n'a fait que révéler le péché que les Hommes pratiquaient déjà afin qu'ils aient conscience de leur état. Mais elle ne donnait pas la solution pour le vaincre . C'est pour cela que la chair saisissant l'occasion continuait à faire ses œuvres dans les cœurs.
      La nature pécheresse de l'Homme le pousse naturellement à se rebeller contre Dieu, car elle ne peut pas se soumettre à la Parole (Romains 8:7) sans l'œuvre de la croix.

      Fraternellement

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  • redaction  modérateur  
    8 Août 2014 14:20

    En fait, pour être plus précis, la loi agit comme l'arbre de la connaissance du bien et du mal. L'homme a convointé son fruit justement parce que c'était défendu. Il ne convoitait pas les autres arbres car il pouvait consommer leurs fruits à sa guise. On convoite ce qui est défendu. C'est là tout le travail du tentateur. Dieu dit: ne mens pas. Et Satan vient susciter du désir à l'égard du mesonge et présenter des arguments en sa faveur. Si on se laisse séduire, on pèche.

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