Une loi sur la liberté de religion dans l'Indiana, qui pourrait selon ses détracteurs permettre aux entreprises de refuser des clients homosexuels au nom de leurs croyances, provoque la colère des associations de défense des gays et lesbiennes.
C’est lors d’une cérémonie en petit comité et entouré de différents membres de congrégations religieuses que le gouverneur républicain de l’Indiana, Mike Spence, a ratifié jeudi 26 mars, une loi appelée « Religious Freedom Restoration Act » soit Loi de Réhabilitation de la liberté religieuse.
Pour ses détracteurs, cette loi permettrait aux entreprises ou aux commerçants de refuser des clients homosexuels au nom de leurs croyances. Mais pour Mike Spence, cette loi "n’a rien avoir avec la discrimination". "Si je pensais qu’elle légalise la discrimination de n’importe quelle manière dans l’Indiana, j’aurais mis mon véto."
Pour l'homme, comme il le twittait ce dimanche 29 mars, cette loi n'a pas d'autres buts que de "protéger la liberté religieuse des personnes de foi et les familles de la foi à travers l'état". Il affirme avoir promulgué cette loi car "de nombreuses personnes ayant la foi ont le sentiment que leur liberté religieuse est attaquée par le gouvernement".
Quelques 18 autres états ont adopté une loi similaire qui s'inspire d'une loi fédérale votée en 1993 sous Bill Clinton et qui rend illégal "d'entraver substantiellement" la liberté religieuse d'un individu.
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Kulandaï Rajah ¶
31 Mars 2015 22:21Il est vrai que l'homme ne peux où à peux difficile de comprendre, réellement le messages Du Divin, est ce que nous comprendrons nous un jour ?, n'est ce pas déjà trop tard , il me semble est c'est que mon avis personnelle, les êtres on est pour devoir de vivre en communions fraternelle, mai vous me direz n'est tu pas un peux rêveur mon chère, est bien laissons l'espoir aux utopiste de se monde qui entrain de volés joyeusement en éclats, non pas que cela ne me plaise, mai aux homme d'un rêve de catacombe il où il n'y a que putréfactions , est la mort et mort certaine que oui, me fait bien peux de cas de moi-même, mai non déplaise que pour ceux qui crois encore que demain est§ un jour de rêves dans où de leur propres égos, triste sire que nous sommes .
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