fév. 10, 2015, 7:01 après-midi -  Kulandaï Rajah

Ô le pauvre prélat, vais me prélassez dans les jupons de mes pauvre pigeons de paroissiens(enes), il m'appartienne sans moi il ne peuvent plus-être sauvé, compatis à ta douleur mon pauvre sire, ne suis pas moqueur mes ironique, ouvre enfin les yeux de ton cœur, est si tu n'est pas capable de le faire seule, est bien tourne toi vers le vrai créateur de la Vie est non à ton faux dieu de mort, il te conduit droit dans son entre de l'enfer, c'est tu que Dieu fait grâce actuellement est qu'il est toujours le Dieu Vivant, qu'à tant-tu pardi tu veux que l'on te prenne par la main, vas est demande pardon d'abord à Dieu pour tout tes mes fait les plus étranges quelle puissent-être, ne te juge pas, t'invite à allez vers mon Unique Créateur de La Vie, cette vrai amour universelle, aspire en lui pleinement à Jésus .