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jan. 30, 2014, 2:31 après-midi -  redaction

Bonjour Eric, Nous partageons votre point de vue. Tout d'abord il convient de rappeler que le divorce ne peut être envisagé qu'en cas d'adultère répété de l'un des conjoints et sans repentace de ce dernier, après avoir tout fait pour restaurer son couple. Cela signifie que la voie du pardon et de la patience doit être privilégiée. Lorsque l'un des conjoints persiste dans l'adultère et qu'il refuse de se repentir, généralement il quitte le foyer conjugal. Aussi, pour avoir une conscience nette, il est préférable de laisser l'initiative du divorce au fautif. Ensuite, la loi française, tout comme la Bible (1 Timothée 3:12) ne permet pas la polygamie. "Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari" 1 Corinthiens 7:2. Il est écrit que chacun ait sa femme (et non ses femmes) et que chaque femme ait son mari (et non ses maris). Donc ni la loi de Dieu ni la loi des hommes ne peut valider un mariage alors qu'un premier mariage est toujours en cours. La Bible nous dit que nous devons fuir l'impudicité ( 1 Corinthiens 6:18). Tout rapport sexuel en dehors du mariage est une impudicité; du grec "porneia" : relation sexuelle illicite, adultère, fornication, homosexualité, lesbianisme, bestialité... Donc ceux qui ont des rapports sexuels en dehors du cadre du mariage sont coupables d'impudicité, laquelle inclut l'adultère. Pour qu'un mariage soit valide aux yeux de Dieu, il faut que les futurs mariés aient l'approbation des parents (Genèse 24; Exode 34:11-12; Juges 14:1-3, 1 Corinthiens 7). Ensuite, il faut que les autorités civiles soient respectées, c'est à dire se plier au mariage civile selon les lois du pays en viguer (Romains 13:1; Tite 3:1). Ainsi, si ces conditions ne sont pas réunies, on ne peut pas parler de mariage. En Christ,


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