nov. 6, 2012, 9:05 matin -  lesdokimos

Bonjour, nous n'avons pas bien compris: dans votre assemblée, le fait de porter des rajouts est "un peu mal vu" par certaines personnes ou alors est-ce considéré par l'ensemble de la communauté comme un "péché irréversible" (en sachant que selon la Bible le seul péché impardonnable, c'est le blasphème contre le Saint-Esprit selon Matthieu 12:32) ? Dans ce cas, comment cela se fat-il qu'on vous laisse chanter dans le groupe de louange alors que vous portez des rajouts? Car si on vous laisse chanter, cela voudrait dire que finalement cela ne pose pas problème tant que cela. Ou encore, c'est vous qui avez la sensation que les gens vous regardent mal à cause de vos rajouts? Si c'est une sensation, c'est à vous de voir les personnes en question comme nous recommande la Bible (Matthieu 5:23-24) pour leur demander si elles ont quelque chose à vous reprocher. Si cela se trouve, le problème ne porte pas sur la question des rajouts mais autre chose... Quoiqu'il en soit, comme nous l'avons dit à une autre soeur qui nous parlait de la façon de s'habiller, la première des choses à regarder dans une assemblée c'est la sanctification et le fait que Jésus occupe la place centrale. Si l'assemblée est plutôt légaliste, c'est à dire centrée sur les ordonnances charnelles de l'ancienne alliance, cela pose problème. Quoiqu'il en soit, si vous vous sentez mal à l'aise, c'est à vous de prier Dieu afin qu'il vous oriente et qu'il vous dise si c'est vraiment votre place là où vous êtes. Encore une fois, il faut regarder les choses de manière globale, on ne quitte pas une assemblée pour une histoire de vêtement ou de coiffure mais d'abord à cause du péché, d'un problème général au niveau des enseignements (fausses doctrines) ou encore parce que Dieu vous appelle ailleurs. Donc si tout va bien , sauf l'aspect que vous évoquez, et que Dieu vous pousse à rester là où vous êtes, vous pouvez aussi aborder le sujet des cheveux avec la Bible à l'appui ou tout simplement faire connaître cet article. Soyez bénie.