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nov. 13, 2014, 1:10 matin -  DOUWORO dENIS

Je ne cherche aucunement à discréditer l'homme. C'est vous qui le dites parce que je vous mécontente, vous contrarie. Lorsqu'il est arrivé ou arrive à Shora Kuetu de dénoncer certains comportements, certaines attitudes, certains propos, certaines pratiques; était-ce pour discréditer? D'autre part ne puis-je appeler frère celui avec qui je suis en porte à faux? Drôle de conception! J'ai souvent des échanges avec ma femme et même des frères et soeurs de sang sur la pratique des Chrétiens, sur l'analyse et l'interprétation des passages bibliques. Dois-je cesser de les considérer comme frères au motif que je les critique ou n'accepte pas leur exaltation? Il m'arrive souvent de discuter avec des frères chrétiens qu'ils soient catholiques, orthodoxes, pentecôtistes, témoins de Jéhovah et j'en passe. Ne dois-je plus les appeler frères sous prétexte que nous avons des désaccords, des vues divergentes sur certains points ou aspects qu'ils relèvent de la Bible ou de la pratique des Chrétiens? Votre observation donne l'image de ce que vous êtes réellement.Vous pouvez contester, mais ne souhaitez pas qu'on vous conteste. Et comme vous souhaitez une référence biblique, je vous renvoie à l'évangile selon Saint Luc,ch. VI, versets 43,44. Si donc les fruits sont amers, je conclus que l'arbre est mauvais.C'est ainsi mon frère que j'apprécie; ce sont les oeuvres que j'examine. Si ceux qui se disent revêtus de la puissance divine sont accompagnés de toutes les marques d'une pareille mission et si, à l'appui des paroles, ils joignent les actes, alors je pourrais dire qu'ils sont bien réellement les envoyés de Dieu. Mais je me méfie des paroles mielleuses, je me méfie des scribes et des pharisiens modernes. Je me méfie, comme l'a écrit un internaute, de ceux qui prétendent avoir le seul et unique monopole de la vérité.


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