Aors que démarre, ce mercredi 2 septembre, le procès des auteurs des attentats de janvier 2015, dont celui du journal Charlie Hebdo, Emmanuel Macron a réaffirmé son soutien à la "liberté de blasphémer" et de "conscience" en France, estimant qu'il était "là pour protéger toutes ces libertés."
Le blasphème, défini dans le Larousse comme étant une "parole ou discours qui outrage la divinité, la religion ou ce qui est considéré comme respectable ou sacré", ne constitue pas un délit en France, rappelle le Sénat, qui cite à la fois la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 et la loi sur la liberté de la presse de 1881.
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